La solution Alséide : pour les entreprises qui souhaitent équilibrer leur empreinte carbone

Causée par les activités humaines, l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre est un des principaux facteurs du réchauffement climatique. A ce titre, les tentatives pour réduire la production de carbone sont multiples tant au niveau public que privé. 

C’est l’objectif et l’enjeu de la séquence Eviter, Réduire et Compenser (ERC), érigée en doctrine nationale en mai 2012. Face au constat du déclin des milieux naturels, en raison notamment de l’artificialisation des sols, cette approche plus fonctionnelle et dynamique permet de préserver les écosystèmes.

Eviter les impacts consiste tout d’abord à intégrer les questions environnementales dans la conception des projets. C’est la première phase et elle est essentielle car elle est préalable aux suivantes. La réduction vise ensuite à diminuer les activités polluantes qui ne peuvent être éliminées dans la première phase. La compensation enfin est ce qui permet de contrebalancer les impacts résiduels significatifs. C’est une mesure de développement durable qui replace l’environnement au centre des préoccupations des entreprises. 

En terme de carbone, l’application de la séquence ERC vise tout d’abord à réaliser un bilan carbone, selon la méthode de l’ADEME, pour évaluer son empreinte.

Une fois les activités génératrices identifiées, l’entreprise va s’appliquer à éviter toutes les émissions produites qui peuvent l’être puis à réduire celles qui ne peuvent être évitées. Ce n’est qu’ensuite qu’elle peut chercher à compenser toute ou partie de son empreinte.

La solution Alséide proposée par BIOCENYS a été conçue avec le Conservatoire des Espaces Naturels Midi-Pyrénées, l’école d’ingénieurs de Purpan, l’association Taoma et un expert forestier, qui participent aussi à son conseil scientifique.

Elle repose sur le rôle indispensable que joue la forêt dans le stockage du carbone mais aussi pour l’accueil de la biodiversité et les services écosystémiques indispensables à la vie.

Au plus près des territoires, la solution incite les entreprises à contribuer à la gestion durable de massifs forestiers sélectionnés selon la charte Alséide  et la création de réservoirs de biodiversité.

Un partenariat a, de surcroît, été noué avec le Conservatoire des Espaces Naturels pour consacrer 10% des sommes versées à l’acquisition de vieilles forêts qui viendront renforcer la trame verte et bleue.

En choisissant Alséide, les entreprises s’engagent donc aussi pour la biodiversité qui est un critère indissociable du changement climatique tant leur avenir est lié par leur influence réciproque.

Des visites des massifs forestiers et des ateliers de sensibilisation sont également conçus pour associer étroitement les collaborateurs.

D’ici la fin de l’année, la solution sera déployée sur l’ensemble du territoire français.