Equilibrer son empreinte carbone en protégeant les forêts locales

L’augmentation des GES, due à l’activité humaine, affecte sévèrement le climat jusqu’à menacer la vie humaine.

Les entreprises ont donc un rôle indispensable à jouer dans le ralentissement du réchauffement climatique : Tout d’abord éviter de produire des GES, puis réduire leur production, et enfin compenser ce qu’elles émettent.

Lorsqu’elles s’engagent dans une démarche volontaire de compensation, les entreprises cherchent alors des solutions qui ont du sens sur leurs territoires.

Les solutions qui s’offrent à elles sont multiples et notamment dans les pays du Sud qui sont plus directement impactés par le changement climatique. Toutefois celles qui sont locales sont peu nombreuses et c’est dans cette perspective que la solution Alséide leur propose d’allier stockage du carbone et préservation de la biodiversité.

Conserver les puits carbone que sont les forêts locales

Riche de ses 17 millions d’hectares, la forêt française retient le carbone dans la biomasse, les matières organiques en décomposition et aussi dans les sols. Elle est donc un véritable puits carbone précieux à conserver.

La forêt est aussi un lieu d’accueil privilégié de la biodiversité et dispense de nombreux bénéfices écosystémiques qui sont indispensables tels que la production de dioxygène, la filtration de l’eau, le maintien des sols, etc..

Contribuer à une gestion d’avant-garde

La forêt française souffre d’une absence ou d’une mauvaise gestion. Notre objectif est d’optimiser la gestion des forêts françaises pour lutter contre le réchauffement climatique, préserver la biodiversité locale et contribuer au renforcement de la trame verte et bleue.

Nous sélectionnons rigoureusement les forêts selon les critères de nos experts forestiers, ingénieurs et naturalistes. Elles bénéficient d’une gestion d’avant-garde et soucieuse du respect de la multifonctionnalité forestière, tout en anticipant les évolutions climatiques prévisibles. La gestion optimale des forêts permet un meilleur stockage du carbone, une préservation de la biodiversité grâce au maintien d’îlots de vieillissement ainsi que l’accroissement du carbone par la plantation de nouveaux arbres.

Transformer son empreinte carbone en arbres conservés et en espèces abritées

Le calcul du stockage carbone de la forêt tient compte de la spécificité des arbres la composant et permet de faire une correspondance entre la quantité de tonnes équivalents CO2 que souhaite compenser l’entreprise et le nombre d’arbres et d’hectares. Ainsi quand 100 tonnes équivalent CO2 sont compensés, on sait que l’on conserve environ 2600 arbres ainsi que l’habitat de plusieurs tritons marbrés et que l’on favorise le maintien du territoire de l’aigle botté ou du Circaète Jean Le Blanc *

Mettre en lumière ses engagements

Des animations peuvent être organisées dans la forêt à destination des parties prenantes de l’entreprise afin de leur faire vivre l’expérience et les sensibiliser aux enjeux climatiques, à la biodiversité ou aux services écosystémiques rendus par la forêt.

Des supports de communication dédiés ainsi que des outils interactifs permettent de valoriser la démarche et faire participer les collaborateurs.

Participer à la création de réservoirs de biodiversité

10% de la contribution de l’entreprise est reversée au fonds d’acquisition des vieilles forêts du Conservatoire des Espaces Naturels (CEN). Cette dotation permet de créer des réservoirs de biodiversité en achetant des forêts pour lesquelles les investigations du CEN montrent un intérêt particulier à la conservation,  que ce soit en terme d’espèces ou d’habitats.

* exemple tiré des spécificités du massif de Giroussens – 81