F.A.Q
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Éco-pâturage
L’éco-pâturage est une technique ancienne qui est remise au goût du jour et consiste à effectuer l’entretien d’un espace enherbé en y laissant paître des animaux.
BIOCENYS a choisi de travailler avec des moutons locaux, des races rustiques.
- Ne pas utiliser d’engins à moteurs et réaliser des tontes en silence
- Créer du lien social autour des animaux
- Sensibiliser vos parties prenantes
- Préserver et développer la biodiversité locale
- Diminuer vos emissions de GES
Nous réalisons une étude de faisabilité sur plan de masse ou image satellite qui est ensuite
complétée par une visite sur site par le berger.
L’étude évalue la topographie du terrain et son potentiel d’accueil, le nombre de moutons
et la dimension de la clôture.
Il faut compter 1 mouton pour environ 1000m2. La surface minimale est de 2000m2 d’un seul tenant.
Ruche
- BIOCENYS propose une offre complète comprenant la mise en place et la gestion du rucher avec un apiculteur local.
Les ruches peuvent d’installer sur des espaces restreints en toiture ou sur le foncier.
Afin de permettre à toutes les espèces de pollinisateurs de cohabiter sereinement, nous réalisons toujours une étude de faisaibilité et prétons une attention particulière: - Bol alimentaire
- Présence d’un point d’eau
- Respect des distances règlementaires
Toutes nos ruches sont réalisées avec du bois PEFC pour contribuer à la conservation des filières forestières.
- Le geste apicole est un geste technique et il est nécessaire d’avoir un numéro d’apiculteur pour pouvoir installer des ruches.
Pour mettre l’installation de ruches à la portée des entreprises, BIOCENYS leurs propose une offre clé en main:
– Mise à disposition des ruches et des essaims - Gestion des ruchers tout au long de l’année avec des visites régulières avec un apiculteur local
- Déclarations sanitaires et assurances
- Récolte et mise en pot du miel
- Animations
Des distances règlementaires, fixées par arrêté prefectoral, doivent êtres respectés ainsi que les déclarations sanitaires relative à l’élevage d’abeilles.
BIOCENYS prend en charge tout ces aspects.
Assistance à maitrise d'ouvrage (AMO)
Les projets immobiliers ont beaucoup d’impacts sur la biodiversité (Fragmentation des espaces, Artificialisation des sols) mais ils ont aussi la possibilité de la préserver, pour faire une ville plus résiliente en minimisant leurs impacts et en rendant leurs projets contributifs à la biodiversité.
Prendre en compte la biodiversité dans votre projet, c’est vous engager dans une démarche volontaire qui pérennise votre entreprise :
- Donner plus de valeur à votre parc immobilier
- Diminuer de 10% vos impacts sur la biodiversité (objectif SNB 2030)
- Inscrire vos projets dans le zéro artificialisation nette (ZAN)
- Favoriser le bien-être des usagers
- S’aligner sur la taxonomie européenne
La réalisation d’une labellisation / certification biodiversité n’est pas obligatoire la plupart du temps. Le choix du suivi de celles-ci relèvent en général de la volonté du Maître d’ouvrage à réaliser des projets prenant en compte son environnement biologique proche et cherchant à limiter au maximum son impact sur celui-ci.
Dans certains cas, les appels d’offres peuvent exiger le suivi d’une certification / labellisation biodiversité.
Le suivi de ces labellisations et certifications, ainsi que l’accompagnement à leur mise en place, a un impact négligeable sur le coût total du projet.
Ce qui fait la valeur de votre site, au delà du prix du foncier, c’est la richesse des espèces qui s’y trouvent et des services écosystémiques qui sont préservés (pollinisation, purification de l’air, infiltration de l’eau, fertilité des sols, etc…)
Cela sécurise donc la valeur de vos actifs immobiliers.
Alseide
Selon l’ADEME, « la compensation volontaire est un mécanisme de financement par lequel une entité (administration, entreprise, particulier) substitue, de manière partielle ou totale, une réduction à la source de ses propres émissions de gaz à effets de serre une quantité équivalente de « crédits carbone », en les achetant auprès d’un tiers. ». Cela consiste à mesurer les émissions de gaz à effet de serre générées par une activité (transport, chauffage, …) dans le but de les réduire et par la suite financer un projet de réduction des émissions de gaz à effet de serre ou de stockage carbone qui permettra de compenser, dans un autre lieu, un même volume de gaz à effet de serre.
Les calculs sont appuyés sur les études scientifiques les plus récentes et validées par les experts des vieilles forêts de l’école d’ingénieurs de Purpan. Le calcul de chaque massif est réalisé sur mesure en fonction des types de peuplements. Les volumes de bois marchand sont déterminés selon les principes classiques de la dendrométrie. L’ensemble de la masse végétale est ensuite converti en équivalent carbone puis en équivalent CO2 sur la base des ratios publiés par les chercheurs. Le logiciel d’évaluation du stock du carbone forestier, Forestim V8 carbone, développé par Gilles Barreau, est construit sur le même principe que « Bilan Carbone » initialement mis au point par l’ADEME.
Les forêts jouent un rôle crucial en agissant comme des « puits de carbone ». Elles absorbent le CO2 atmosphérique, un gaz à effet de serre, pour leur croissance et le stockent dans leur biomasse. Ce processus, appelé séquestration du carbone, est un atout majeur dans la lutte contre le changement climatique. En France, les massifs forestiers captent environ 70 millions de tonnes de CO² chaque année, soit 15% des émissions de GES française (source ONF).
Une gestion plus respectueuse des forêts permet un meilleur stockage du carbone et une meilleure adaptation aux changements climatiques. Non seulement les forêts existantes continuent d’absorber du carbone chaque année, mais elles en stockent également d’énormes quantités dans leurs troncs et leurs racines, ainsi que dans le sol qui se trouve en dessous :
- Il faut que les arbres nouvellement plantés se transforment en une forêt mature. Cela prend du temps, au moins des décennies. De plus, les plantations sont particulièrement vulnérables aux ravageurs, aux maladies, et aux catastrophes naturelles.
- Les plus gros arbres d’une forêt stockent moins rapidement mais une plus grande quantité de carbone que les jeunes arbres. Il faudra au moins dix ans, et probablement plus, pour qu’un nouvel arbre commence à avoir un impact sur le climat.
Il faut aussi être attentif au contexte de ces plantations forestières : il est tout aussi essentiel de préserver l’hétérogénéité des milieux ! Par exemple, planter une forêt sur une prairie est un non-sens car elle stocke également du carbone et est d’une grande richesse pour la biodiversité.
Le Label Bas Carbone est piloté par le Ministère de la Transition Energétique et est au service de la mise en œuvre de la Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC). Il permet de garantir la qualité environnementale du projet ainsi que la comptabilité de réduction des émissions CO2 en crédits carbone, les seuls certifiés en France. Au bout de 5 ans, une vérification des réductions d’émissions est réalisée par un auditeur indépendant, à la charge du porteur de projet. Actuellement, il existe 3 méthodes forestières : le boisement, le reboisement et le balivage.
Plus d’informations sur : https://label-bas-carbone.ecologie.gouv.fr/quest-ce-que-le-label-bas-carbone
L’acquisition des vieilles forêts par le CEN se fait à travers leur mission de « maîtrise foncière », qui comprend les contrats de gestion, les acquisitions et les plans de gestion réalisés par le conseil scientifique du CEN. C’est un outil qui permet la préservation du patrimoine naturel sur notre territoire. En sélectionnant et en achetant des forêts présentant des caractéristiques exceptionnelles de biodiversité, le CEN protège ces zones et les place sous une gestion durable, créant ainsi de véritables réservoirs de biodiversité. Le projet de maitrise foncière du CEN comprend également l’achat d’autres zones reconnus comme importantes pour la biodiversité telles que des grottes ou des tourbières.